En arrivant sur le seuil de ce que la SNCF nomme si joliment l’espace club 4, ils virent leurs places encombrées de poches clamant le prix de ce qu’elles contenaient, plus quelques vêtements. Une dizaine d’années, à peu près, entre la quinquagénaire grassouillette...

Dans l’article consternation, j’ai le sentiment de ne pas avoir été assez précis et surtout, de ne pas avoir exposé suffisamment de causes provoquant les situations que je décrivais. Vous l’avez sans doute constaté, depuis une trentaine d’années nous...

Vous avez certainement découvert cette nouvelle prestation dans l’interface de notre charmant hébergeur… VOUS AIMEREZ AUSSI. La formule est séduisante et prometteuse… Tout auréolé de candeur, on se dit que ceux mémorisés dans cette rubrique ont quelques...

Un manque de mobilité me cloue en mon palais. Soyez rassurés, une abondante domesticité, nuit et jour, s’échine afin de satisfaire mes plus insolites caprices. Ainsi… Mes cornacs ont enfin réussi à enseigner le menuet à mes éléphantes. La troupe me déride...

début en SOMBRE CUISINE - UN Réussir… Tout en effet s’y prête. À propos de la ghettoïsation que j’ai évoquée, les fameuses ZEP offrent un efficace tremplin. Outre les sous effectifs, ce sont les moins aguerris et les moins expérimentés des enseignants...

Début en SOMBRE CUISINE - UN La courte pause est finie, en reprenant place les amis du Professeur Knout ont déployé quelques calicots, le lamentable zeitnot à qui nous avons demandé un commentaire s’est contenté d’une formule sibylline – la récurrence...

DEUX début en SOMBRE CUISINE - UN - Lamentable zeitnot, vous avez souhaité faire une mise au point concernant vos élucubrations d’hier, puisque le génial Professeur Knout est en train de prendre place, nous vous écoutons. - C’est délicat. Quand je le...

Je m'en souviens, lorsque j'étais enfant Madame Bazile me gardait parfois... Minuscule, rougeaude, deux calots vifs et bruns derrière des verres à double foyer, une bouche dessinée en accent circonflexe par un épais carmin, et, encadrant une face large...

Ah ! Vils parasites ! Faisanes et faisans paresseux qui vous goinfriez sans retenue et criailliez effrontément sous vos douillets abris… Biches et cerfs aussi lascifs que voraces qui paressiez dans vos enclos et vous repaissiez d'immérités fourrages…...